L’Université d’Ottawa se distingue pour son appui aux objectifs de développement durable de l'ONU et cosigne la déclaration sur le Programme 2030

Gazette
Représentation d'une carte du monde à l'aquarelle
L’Université d’Ottawa se hisse dans les hauts rangs du classement 2021 du Times Higher Education sur les facteurs d’impact, mettant en lumière sa contribution aux objectifs de développement durable de l’ONU. Le recteur et vice-chancelier Jacques Frémont a également cosigné une déclaration commune aux Nations Unies appelant à accélérer les mesures pour un avenir durable.

L’Université d’Ottawa, représentée par le recteur et vice-chancelier, Jacques Frémont, s’est récemment jointe à 57 autres universités de partout dans le monde pour présenter une déclaration commune aux Nations Unies appelant à accélérer les mesures visant à accroître la durabilité sur la planète.

C’est la première fois que de grandes universités situées sur six continents s’unissent pour s’exprimer sur le Programme de développement durable à l’horizon 2030, adopté par les États membres des Nations Unies en 2015 en tant qu’appel universel à l’action visant la paix et la prospérité dans le monde.

L’Université d’Ottawa s’est récemment distinguée pour son engagement en matière de durabilité dans le classement du Times Higher Education sur les facteurs d’impact (en anglais), mettant en lumière la contribution institutionnelle face aux objectifs de développement durable de l’ONU. En avril 2021, l’Université d’Ottawa s’est classée dans les hauts rangs à plusieurs niveaux : 

  • 2rang du U15 et 9e rang global pour l’objectif 16 : paix, justice et institutions efficaces;
  • 3e rang du U15 et 29e rang global pour l’objectif 6 : eau propre et assainissement, et
  • 10e rang du U15 et 74e rang global pour l’objectif 17 : partenariats pour la réalisation des objectifs.

La déclaration commune arrive au moment où le monde fait face à un besoin pressant de redoubler d’efforts pour atteindre les objectifs du Programme 2030, efforts entravés par la pandémie de COVID-19 et bon nombre d’autres défis mondiaux, dont les changements climatiques et les inégalités. 

Ce n’est pas un secret : les universités ont le pouvoir de générer le savoir, de fédérer intervenants et intervenantes et de rendre possibles les transformations; et on attend d’elles qu’elles jouent un rôle de premier plan dans la préservation d’un avenir durable. 

Dans la déclaration, les directions des universités continuent de prôner la solidarité, la résilience et la prospérité, tout en s’engageant à la réalisation d’une vision commune fondée sur l’éducation, la recherche, l’innovation et les partenariats. 

La déclaration a été faite le 24 mars dernier, lors d’un forum virtuel organisé par l’Université du Zhejiang, en Chine. Le forum (site en anglais) accueillait des intervenantes et intervenants divers, dont Nikhil Seth, le sous-secrétaire général de l’ONU, Stefania Giannini, la sous-directrice générale pour l’éducation de l’UNESCO, de même que les directions de 14 universités de partout dans le monde. Axé sur le rôle que peuvent jouer les universités dans la mise en œuvre du Programme 2030, le forum a mené à la création d’un dialogue sur les avenues possibles avec de multiples parties prenantes. 

Lire la version intégrale de la déclaration et consulter la liste des signataires (en anglais seulement).