Mars, c’est le Mois de la francophonie. L’Université se joint aux francophones et francophiles du monde entier pour célébrer la langue française et ses multiples expressions culturelles. Que le français soit votre langue maternelle ou une nouvelle langue, voici pourquoi vous avez choisi de vous immerger en français.
Min Ji (Esther) Kim
Étudiante
Baccalauréat en développement international et mondialisation, mineure en études asiatiques, immersion en français et coop
« Quand je suis arrivée de la Corée au Canada à huit ans, j’ai rencontré un élève du Québec qui participait à un programme d’échange à mon école primaire, et j’ai été fascinée par la beauté du français! Sachant que c’est l’une des langues officielles du Canada, j’ai choisi le défi et l’objectif de pouvoir aussi m’exprimer en français! J’ai été inscrite en immersion en Colombie-Britannique tout en apprenant l’anglais langue seconde. Après mes études secondaires en immersion, j’ai évidemment pensé à l’Université d’Ottawa, attirée par son régime d’immersion, l’enseignement coop et une ville bilingue! »
Jordan Daniels
Étudiante
Baccalauréat spécialisé bidisciplinaire en administration publique et science politique, immersion en français
« J’ai choisi le régime d’immersion en français pour m’ouvrir des perspectives de carrière et d’avenir! Les programmes bilingues de l’Université d’Ottawa m’ont permis d’étudier la science politique dans les deux langues, et de découvrir beaucoup plus de possibilités d’emploi pour les étudiants bilingues. Étudier en immersion française semble vraiment le meilleur parcours, surtout que je veux travailler pour le gouvernement! »
Jovan Groen
Analyste principal, recherche stratégique et évaluation des impacts
Service d’appui à l’enseignement et à l’apprentissage
« Comme chercheur, j’ai la chance de profiter de deux réseaux. La culture francophone produit ses propres recherches grâce aux pratiques qui lui sont particulières, comme le fait la culture anglophone. C’est un avantage considérable pour moi de pouvoir tirer parti des deux. »
Joanelle Barbon
Étudiante
Baccalauréat en sciences commerciales spécialisé en comptabilité
« J’ai choisi d’étudier le français, parce que je savais qu’étant bilingue j’aurais davantage de possibilités d’emploi. J’avais pensé l’essayer pour seulement un an, mais après un trimestre, je me suis rendu compte que les études françaises à l’Université d’Ottawa me permettaient de tisser beaucoup de liens, à la fois avec des étudiants francophones et en immersion. J’y ai acquis une véritable appréciation pour cette langue, et pour moi, ce sont les études françaises jusqu’au bout! »
Sabrina Sotiriu
Étudiante
Doctorat en science politique
« Ma maîtrise et mon doctorat sont bilingues. Au début, ça me semblait tout faux et j’étais vraiment nerveuse, mais au troisième cours en français je me sentais très capable et heureuse d’avoir cette chance. Aujourd’hui, je suis fière de dire que mes deux diplômes d’études supérieures sont bilingues, c’est tout un atout!!! »
Deanna Nickels
Diplômée inscrite en septembre
Baccalauréat spécialisé en lettres françaises, mineure en English
Formation à l’enseignement en FLS en septembre
« En choisissant d’étudier en lettres françaises, j’ai pu continuer d’apprendre la langue dans un environnement entièrement français. C’est un programme francophone et je suis anglophone, mais j’ai commencé à apprendre le français dès la maternelle en immersion, alors j’ai pensé que ce serait une occasion en or de continuer pendant toute ma formation scolaire. J’ai terminé mon bac en décembre 2018, et je poursuis mes études pour devenir enseignante de français! »
Jaylen Prince-Pinnock
Étudiant
Baccalauréat ès sciences en sciences infirmières
«Tout simplement parce que c’est un formidable atout. La langue française est fantastique et, ce que j’aime beaucoup, elle me met au défi. J’ai aussi entendu dire que parler plus d’une langue aide à ralentir l’apparition de la maladie d’Alzheimer. »
Gerrit Wesselink
Diplômé
Baccalauréat en sciences sociales, administration publique et sciences politiques
« J’ai étudié dans une école francophone de Thunder Bay, même si je viens d’une famille anglophone. J’ai choisi l’Université d’Ottawa en français pour me perfectionner! Aujourd’hui je parle comme si j’étais né au Québec ou dans l’Est ontarien, et je travaille pour le conseil du développement du français en Louisiane! »
David Graham
Provost et vice-recteur aux études
« Mes parents, qui sont unilingues anglophones, nous ont inscrits ma sœur et moi dans des cours de français qui se donnaient après l’école à Saskatoon, en Saskatchewan. J’ai alors découvert que j’avais des aptitudes pour cette langue et j’y ai pris goût. Je travaille en langue et littérature française depuis très longtemps, et ça m’a permis d’aller vivre en France et au Québec et de rencontrer des collègues de langue française de partout dans le monde. Finalement, ça m’a fourni une foule d’opportunités enrichissantes. »
Anna-Charlotte Tremblay
Étudiante
Baccalauréat spécialisé en théâtre
« C’est important pour moi de garder la culture francophone vivante en Ontario et de l’encourager autant que possible. »
Marlene Hoff
Responsable du développement de la recherche
Faculté d’éducation
« J’étais l’une des premières élèves en immersion française dans le système scolaire de Cornwall en 1958. Mon père, francophone, savait que l’apprentissage d’une seconde langue rendrait ma vie intéressante. J’ai pu travailler dans le domaine de la traduction pendant près de 15 ans à Toronto et, arrivée à Ottawa, j’ai rapidement trouvé de l’emploi parce que je suis bilingue. En voyage, j’apprends facilement de nouvelles langues, comme l’espagnol, l’italien ou le portugais, car elles ont toutes une base latine. Je suis très reconnaissante envers mon père qui avait cette vision pour ses enfants. »
Dianne Séguin
Étudiante
Baccalauréat en sciences sociales avec spécialisation en service social
« C’est difficile de perdre l’usage de la langue anglaise, parce que la majorité de la population canadienne parle l’anglais. Cependant, le français se perd facilement si on ne le pratique pas. L’éducation en français est un privilège et il faut en profiter et être fiers de notre identité franco-ontarienne — parce que oui, il y a des francophones ailleurs qu’au Québec! »
Jordan Daniels
Student
Joint Honours in Political Science and Public Administration with French Immersion
“I chose to study in the French immersion program to open up more opportunities for careers in the future! uOttawa’s unique bilingual programs have allowed me to study politics in both languages, and have let me discover so many more great job opportunities for bilingual students. Studying in French immersion just seems like the best way to do it, since I want to work for the government!”
Jovan Groen
Senior Analyst — Strategic Research and Impacts Evaluation
Teaching and Learning Support Service
“As a researcher, I have never benefited more than from having two networks to pull from. The francophone culture has its own research and practice, as does the anglophone culture. Being able to pull from both is a tremendous advantage.”
Joanelle Barbon
Student
Bachelor of Commerce with Honours in Accounting
“I chose to study French because I knew that being bilingual would mean more job opportunities after university. I planned to try it out for a year but after the first term, I came to realize that French studies at uOttawa gave me so many opportunities to connect with people, both francophone and French immersion students. This made me develop a genuine appreciation for the language. I’ll totally be pursuing French studies all the way!”
Sabrina Sotiriu
Student
PhD in Political Science
“Both my MA and PhD are bilingual. At first, it felt forced and I was so nervous but by the third course in French, I just felt empowered and so glad to have had this opportunity. I’m bragging to everyone that my graduate degrees are both bilingual. It's such a bonus!!!!!”
Jaylen Prince-Pinnock
Student
Bachelor of Science in Nursing
“Because it’s a great asset to have. The language is awesome and it challenges me, something that I like. I hear speaking more than one language helps slow down the onset of Alzheimer’s”
Deanna Nickels
Alumna enrolled for September
Honours BA with a Specialization in Lettres Françaises, Minor in English. Teachers' college for FSL in September
“I chose lettres françaises as a way to continue learning French while being in a completely French environment. It’s a francophone program and I’m actually anglophone. But I started learning French in junior kindergarten and did French immersion all throughout school so I figured it would be a great opportunity. I finished in December 2018 and now I’m headed to teacher’s college in September to become a French teacher!”
Gerrit Wesselink
Alumnus
Bachelor of Social Sciences, Politics and Public Administration
“I went to a francophone school in Thunder Bay, even though I come from an anglophone family. I chose the University of Ottawa in French to improve myself! Today, I speak as if were born in Quebec or Eastern Ontario, and I work for the Council for the Development of French in Louisiana!”
David Graham
Provost and Vice-President, Academic
“My parents, who are unilingual anglophones, registered my sister and me in after-school French classes in Saskatoon, Saskatchewan. I discovered then that I had an aptitude for the language and I began to like it. I’ve been working in French language and literature for a very long time, and I’ve been able to go live in France and Quebec and to meet French-language colleagues all around the world. Lastly, it’s given me loads of rewarding opportunities.”
Anna-Charlotte Tremblay
Student
Honours BA in Theatre
“It’s important for me to keep francophone culture alive in Ontario and to encourage it as much as possible.”
Marlene Hoff
Research facilitator
Faculty of Education
“I was one of the first students when French immersion was introduced in the Cornwall school system in 1958. My father, who was francophone, knew that learning a second language would give me a better life. I was able to work in translation for nearly 15 years in Toronto, and when I arrived in Ottawa, I quickly found work because I was bilingual. When travelling, I easily pick up new languages, like Spanish, Italian or Portuguese, because they’re all based on Latin. I’m very grateful to my father, who had this vision for his children.”
Dianne Séguin
Student
Honours Bachelor of Social Sciences in Social Work
“It’s hard to lose your English because the majority of Canadians speak English. However, it’s easy to lose your French if you don’t practise it. Education in French is a privilege. We have to take advantage of it and be proud of our Franco-Ontarian identity — because, yes, there are francophones outside Quebec!”