Le cours sera livré conjointement par la professeure Pascale Fournier et le Chef de la Direction des traités relatifs aux droits de l’homme de l’ONU, le Dr Ibrahim Salama, du 13 au 24 mai 2024. Ce cours offre aux étudiant.e.s une opportunité inédite d’observer les mécanismes de mise en œuvre des droits humains sur le terrain et, au retour de Genève, d’analyser leur portée par le biais de présentations originales en collaboration avec un organisme de la société civile, le grand public ou le secteur gouvernemental/privé.
L’accent sera mis sur « le système des organes de traités et l’engagement des ONG, des États et des autres parties prenants auprès des organes de traité, en particulier le Comité sur l’élimination de la discrimination faite aux femmes (CEDAW) et le Comité des droits de l’enfant (CRC)», explique la professeure. Les étudiants.e.s participeront à la 88e session de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (CEDAW).
« Tous les jours, en plus d’un enseignement intensif dispensé le matin au Palais des Nations, les étudiant.e.s rencontreront des experts des Nations Unies en lien avec les mécanismes de mise en œuvre des droits humains, tels des membres de CEDAW ou du Comité des droits de l’enfant, des responsables des droits politiques et civils, des représentants de la diplomatie canadienne, etc. », précise-t-elle. Les pays à l’étude seront la Corée du Sud, le Monténégro, Singapour et l'Estonie. Les étudiant.e.s auront l’occasion d’assister à des séances de révision des rapports étatiques de l’ONU devant des organes de traités.
De plus, les étudiant.e.s pourront participer à une visite du Palais fédéral de Berne, lieu important et symbolique au cœur de la démocratie et du confédéralisme suisse. Une rencontre avec des experts en politique fédérale, en droit constitutionnel ou en fédéralisme y sera organisée.
À leur retour à Ottawa, lors de la deuxième et dernière semaine de cours, les étudiant.e.s auront à analyser la portée des instances onusiennes et à témoigner de leurs observations en livrant un projet de démocratisation du savoir innovant auprès du grand public.
« C’est l’essor d’une nouvelle génération de penseurs et d’actrices du changement social, qui transforment leurs idées en actions pour le bénéfice de tous et de toutes! », affirme avec enthousiasme la professeure Fournier. « Les initiatives retenues sont créatives, audacieuses et souvent interdisciplinaires», ajoute-t-elle. «Il y aura notamment des balados, une campagne de sensibilisation sur l’égalité de genre, la création d’une vidéo table ronde en plateforme interactive, la rédaction d’un guide de vulgarisation en matière de droits humains destiné aux enseignant.es du secondaire, la mise sur pied d’ateliers au sein de Chambres de commerce, une conférence dispensée auprès des Forces armées canadiennes, un court-métrage documentaire et plusieurs autres projets rassembleurs.»
À leur retour à Ottawa, lors de la deuxième et dernière semaine de cours, les étudiant.e.s auront à analyser la portée des instances onusiennes et à témoigner de leurs observations en livrant un projet de démocratisation du savoir innovant auprès du grand public.
« C’est l’essor d’une nouvelle génération de penseurs et d’actrices du changement social, qui transforment leurs idées en actions pour le bénéfice de tous et de toutes! », affirme avec enthousiasme la professeure Fournier. « Les initiatives retenues sont créatives, audacieuses et souvent interdisciplinaires», ajoute-t-elle. «Il y aura notamment des balados, une campagne de sensibilisation sur l’égalité de genre, la création d’une vidéo table ronde en plateforme interactive, la rédaction d’un guide de vulgarisation en matière de droits humains destiné aux enseignant.es du secondaire, la mise sur pied d’ateliers au sein de Chambres de commerce, une conférence dispensée auprès des Forces armées canadiennes, un court-métrage documentaire et plusieurs autres projets rassembleurs.»