Justice sociale, équité, groupes sociaux et inclusion
Grâce à l'élaboration de théories et à la recherche, les chercheurs et chercheuses de la Faculté des sciences sociales s’emploient à mieux comprendre comment faire progresser la justice sociale, l'équité et l'inclusion au Canada et dans le monde.
Voici quelques exemples :
- Études de genre et pédagogies féministes
- Minorités linguistiques, identitaires et religieuses
- Diversité humaine, droits de la personne et égalité
- Action politique, citoyenneté et participation, action sociale
- Éthique et vie publique
- Inclusion sociale et marginalisation
- Criminalisation et pauvreté
- Structures d'inégalité et relations de pouvoir
Alexandre Baril
Professeur agrégé, Service social
Co-champion - Justice sociale, équité, groupes sociaux et inclusion
« Les questions d’équité, de diversité et d’inclusion (ÉDI) sont au cœur de nos préoccupations. Les groupes marginalisés se mobilisent pour une plus grande justice sociale, tant en dehors qu’au sein de nos institutions universitaires, notamment par le biais de champs d’études interdisciplinaires et critiques. Mes recherches intersectionnelles s’inscrivent dans cette foulée de lutte à la fois sociale, politique et épistémique, pour une plus grande justice sociale. Mon travail et celui de collègues qui s’intéressent aux enjeux ÉDI visent ainsi à dénoncer l’âgisme, le cisgenrisme, le capacitisme, le classisme, le colonialisme, la grossophobie, l’hétérosexisme, le racisme, le sanisme, le sexisme, etc., afin de repenser nos institutions, nos politiques et nos interactions sociales. »
Mythili Rajiva
Professeure agrégée, Études féministes et de genre
Co-championne - Justice sociale, équité, groupes sociaux et inclusion
« L'équité est au cœur des préoccupations en matière de justice sociale. Il est crucial d'aborder l'équité, la diversité et l'inclusion à un niveau structurel au sein de notre université. Depuis plus de deux décennies, mes recherches portent sur l'équité et la justice sociale, en mettant l'accent sur l'intersectionnalité féministe. En tant qu'universitaire, enseignante et agente d'équité pour l'APUO, je suis profondément engagée dans la lutte contre le racisme, le colonialisme, le sexisme, le classisme, l'hétérosexisme et le capacitisme. Plus important encore, comme de nombreux défenseurs de la justice sociale, je m'engage également à apprendre et à désapprendre tout au long de ma vie, afin d’être bonne alliée auprès des groupes marginalisés dont les luttes diffèrent de mon expérience en tant que femme de couleur dans le milieu universitaire. »