Alerte au smog : ressortez vos masques N95
Shawn Aaron (anglais seulement)
Professeur Titulaire, Département de médecine, Faculté de médecine
saaron@uottawa.ca
saaron@toh.ca
Le professeur Aaron peut donner des conseils sur la manière de prévenir les dommages aux poumons pendant les jours où la qualité de l'air est mauvaise.
« Idéalement, les jours comme aujourd'hui, vous devriez rester à l'intérieur, les fenêtres fermées et l'air conditionné en marche. Si vous avez des filtres HEPA dans votre maison, mettez-les en marche. Évitez de faire de l'exercice ou des travaux lourds à l'extérieur les jours où la qualité de l'air est mauvaise. Si vous devez travailler à l'extérieur, portez un masque N95. Les bébés, les jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes souffrant de maladies pulmonaires ou cardiaques chroniques sont les plus vulnérables. Si vous êtes à l'extérieur et que vous commencez à tousser, à ressentir une oppression thoracique, une respiration sifflante ou un essoufflement, rentrez à l'intérieur dans un endroit où l'air est frais et filtré. »
Jules Blais (français et anglais)
Professeur titulaire, Département de Biologie, Institut de l'environnement, Faculté des sciences
jules.blais@uOttawa.ca
Les travaux du Professeur Blais portent sur l'identification des conséquences des polluants environnementaux sur les systèmes naturels. Il cherche notamment à déterminer comment les polluants sont transportés et concentrés par les phénomènes naturels pour atteindre des niveaux d'exposition élevés chez les organismes cibles, y compris l'humain.
« La combinaison de températures élevées et de conditions sèches que nous connaissons actuellement est bien connue pour rendre les incendies plus graves et plus fréquents. Il s'agit d'un produit du changement climatique, dont les effets deviennent de plus en plus significatifs. »
Éric Lavigne (français et anglais)
Professeur auxiliaire, École d’épidémiologie et de santé publique, Faculté de médecine, et professeur à temps partiel, École interdisciplinaire des sciences de la santé.
elavigne@uottawa.ca
Le professeur Lavigne était parmi les auteurs d'une étude internationale qui a révélé que les Canadiens ont le risque relatif le plus élevé de mortalité respiratoire résultant de la pollution par les feux de forêt. Il peut aborder les sujets suivants :
- Les risques et les conséquences de la fumée provenant des feux de forêt qui ravagent le Canada pour les gens qui y sont exposés et au-delà.
- L'impact des incendies de forêt sur la santé, y compris la santé mentale.
- Les mesures de prévention individuelles lors d’exposition à la fumée.
«L’impact est réel, surtout au niveau de la santé et des maladies chroniques comme l’asthme, les bronchites chroniques, sur ceux qui ont des antécédents de problèmes cardiaques. Même en bonne santé, on peut être affecté.»